Les dirigeants du groupe russe estime que l'engagement des Allemands d'installer des unités de production sur le territoire russe est une condition nécessaire pour conclure ce contrat. M.Fadéev insiste aussi sur la russification graduelle de la production (30% du prix de revient du train en 2007-2008 et 80% en 2015).
Feront partie de la coentreprise Siemens, des producteurs industriels russes, des banques et des compagnies d'investissement. Plusieurs propositions ont déjà été faites par des banques européennes et russes.
Le groupe russe promet à son tour d'acheter un lot de 60 trains à un prix concerté. La Russie s'engage à moderniser l'infrastructure ferroviaire conformément aux normes de l'exploitation de trains rapides. Le coût de ces travaux serait égal au montant des frais pour l'achat de trains à Siemens.
Hans Schabert a confirmé que la compagnie allemande avait accepté les conditions des Russes qui, d'ailleurs, sont pratiquement conformes aux attentes de Siemens en prévision de la transaction.