L'analyse révèle que nous ne planifions pas toujours de la meilleure façon. Nous freinons les choses, nous ne faisons pas marcher à plein le facteur concurrence, a dit le premier ministre.
Celui-ci a invité à accorder une importance toute particulière à ces questions sinon des incompréhensions se font jour dans le monde des affaires et au sein de la société.
Mikhaïl Fradkov a relevé que le plan de privatisation devait être précis, strict, transparent et achevé.
Le ministre russe du Développement économique et du Commerce, Guerman Gref, ne pense pas que la privatisation en Russie puisse être achevée à la fin de 2007. Non, 2007 ne sera pas la date limite de la privatisation, même si d'ici là il est possible de vendre les principaux paquets d'actions, a dit le ministre interrogé par les journalistes à l'issue de la réunion du gouvernement consacrée à l'examen du plan de privatisation pour les années à venir.
Selon lui, le problème essentiel dans ce processus, c'est la question de la liquidité et des paquets d'actions minoritaires.
Dans le contexte du marché, il est difficile de vendre les paquets d'actions inférieurs à 25 pour cent, a relevé Guerman Gref.