"Des explications ont été données à la suite des allégations de certaines ONG selon lesquelles les prévenus, les personnes mises en examen et les personnes purgeant leur peine dans le cadre de cette affaire ne seraient pas suffisamment défendus", lit-on dans le communiqué du ministère.
A Vienne, à la session complémentaire de l'OSCE sur la prévention de la torture, les questions relatives aux garanties de procédure pendant l'arrestation et durant le procès ont également été examinées.
"La délégation russe a présenté un aperçu de notre législation et de notre pratique dans ce domaine, évoqué son perfectionnement visant l'élimination de la torture, des traitements inhumains et humiliants, en conformité avec les engagements internationaux du pays", lit-on dans le communiqué du ministère.
Les délégations de 34 Etats et 64 organisations internationales non gouvernementales ont pris part à cette réunion de l'OSCE.