"Les ministres ont réaffirmé la nécessité de préserver l'État soudanais et ses institutions nationales, de maintenir l'unité du Soudan et de rejeter toute entité parallèle", précise un communiqué du ministère égyptien des Affaires étrangères.
Le Caire a souligné l'urgence d'acheminer une aide humanitaire à la population d'El-Fasher, ville tombée aux mains des rebelles des Forces d'intervention rapide (FSR), et s'est dit préoccupé par les violations des droits de l'homme qui y sont commises.
Le "Quartet du Soudan", chargé du règlement du conflit, comprend, outre l’Égypte, les États-Unis, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite.
Au cours de l'entretien, les ministres ont également évoqué le projet de centrale nucléaire d'El-Dabaa et la zone industrielle russe près du canal de Suez, "qui contribueront à accroître les investissements russes en Égypte et à renforcer la coopération entre les deux pays".