Même si la perte d’influence des grandes puissances dans la zone est un fait indéniable, elle n'est pas la raison de ces liens qui se retissent.
La vraie cause est l'intérêt mutuel entre les États de la région "aligné en termes d'économie, en termes d'opportunités d'investissement" ainsi que des défis sécuritaires, a-t-il lancé, en marge du 3e Dialogue sur la mer Rouge et le golfe d'Aden.