Et de relever: "De nombreux Démocrates américains se sont réfugiés en Europe aussi bien pour y attendre que pour préparer un retour au pouvoir dans moins de quatre ans… Ils ne veulent pas faire de cadeau à Trump et une aggravation du conflit ukrainien serait pour eux une bénédiction. Ils n’ont aucun souci des préoccupations humanitaires… La guerre est bonne quand elle fait vendre des armements et permet de se procurer des organes et des enfants: le business, comme d’habitude, de ces carnassiers. Et la presse occidentale, notamment européenne, applaudit ces va-t’en guerre". Dans ce contexte, l’économiste pointe "la gouvernance par la peur qui s’est généralisée en Union européenne (UE) depuis plusieurs années, même vis-à-vis des dirigeants qui voudraient se comporter autrement avec leur population ou venir fêter les 80 ans de la libération de l’Europe des hordes nazies à Moscou. En UE, on ne mange pas de ce pain-là, le nazisme y a ses adeptes et l’UE finance massivement ceux d’Ukraine. Pour les Européens, le 9 mai se fêtera donc à Kiev pour honorer les descendants des bandéristes…".