Le captif a pourtant affirmé que c'était une police d'assurance médicale qui devait lui permettre d'être pris en charge dans une clinique au Canada en cas de blessures.
Tous ses compagnons d'armes ont reçu ce document, l'ont rempli et donné au commandant, a-t-il expliqué. C'est l'éclatement des tirs qui l'a empêché de faire pareil.
Visiblement pris au dépourvu par la nature du document, le prisonnier ne cache pas son indignation: "C'est ainsi qu'ils envoient les gens à une mort certaine, et obligent à signer ce papier".