Sa famille de six personnes a dû se tasser dans une pièce aux fenêtres condamnées avec des planches, sans électricité ni chauffage.
Malgré la peur, les habitants se réunissaient le soir pour partager les nouvelles sur la situation sur le front car tout le monde n'avait pas la radio.
La joie de voir venir des militaires russes a été indescriptible, selon elle.
"Seul le peuple russe peut résister à un tel cauchemar, personne d'autre", conclut la femme.