Selon Paul Antoine, cet accord devrait aussi tracer "une fois pour toutes" les frontières de l'Alliance nord-atlantique et stipuler que l'Ukraine ne peut pas la rejoindre.
Dans le même temps, il n'exclut pas que Washington puisse trahir Zelensky "sans aucun problème".
"Ils lui mettront la pression avec deux options. Soit Volodymyr Zelensky va vivre tranquillement avec tout l'argent qu'il a fait, soit il veut s'accrocher au pouvoir, et dans ce cas-là, il sera lâché par ses partenaires."
Enfin, l'analyste avertit du "gros pouvoir de nuisance" de l'Union européenne, qui "peut mettre des bâtons dans les roues des négociations de paix".