"Pour ce qui est de l'Iran, la Russie a déjà offert ses bons services pour discuter, pour mener des négociations, servir de facilitateurs entre l'Iran et les États-Unis. On constate dans la rhétorique de Netanyahou, qui a repris donc les hostilités à Gaza de façon massive, on constate qu'il n'a pas mentionné l'Iran. C'est assez nouveau dans le discours israélien, puisque jusqu'à maintenant, l'Iran était la cible préférée du gouvernement israélien. Ça n'est plus le cas, apparemment, depuis quelques semaines. C'est aussi un signe qu'il y a probablement une volonté d'apaisement ou que des discussions sont en cours pour tenter, on va dire, de calmer le jeu sur ce terrain", a estimé M.Mettan sur l'implication de la Russie et des États-Unis dans les crises au Moyen-Orient.