Pour lui, cette décision "n'est qu'un point de départ" sur la voie vers l'autonomisation pour les pays qui étaient "sous un joug".
Déjà après le coup d'État de 2023, le Niger "a fait face à toutes les situations les plus inhumaines qu'on ne peut pas imaginer", a-t-il pointé.
Le choix de l'AES de rompre avec l'OIF "va permettre à beaucoup d'États de voir clair et de dire non", insiste l'universitaire en ajoutant qu'"il y a beaucoup de pays qui sont en train de vouloir emboîter le pas".
Et d'alerter: "Chaque fois qu'un dirigeant africain cherche à se départir, alors ces puissances entre elles s'entendent pour le liquider".