"Il n'y a ni acharnement ni animosité contre nos partenaires chinois", a assuré Sahabi Oumarou en insistant sur le fait que le respect des lois prime sur tout.
Il a reproché aux entreprises concernées leur refus de donner la priorité à des services locaux et d'appliquer une échelle salariale équitable aux travailleurs nigériens.
Le responsable a souligné que la décision n'avait pas été prise à l'improviste, mais après "plusieurs tentatives pour recalibrer le partenariat".
Quant au retrait de la licence d'exploitation à la société Soluxe International, un "examen approfondi" de la gestion a été réalisé, a expliqué Mme Soufiane Agachata Guichene.
Ce bilan a mis en lumière plusieurs "manquements répétés", notamment la mise à l'écart des sociétés de voyage au profit des compagnies chinoises et la cession d’une partie de terrains sans accord des autorités.