Selon lui, les nations africaines devraient se servir de leur passé commun "pour bâtir des ponts de manière à conforter l'esprit panafricain".
En outre, la jeunesse panafricaine peut se mobiliser pour dénoncer "en utilisant toutes les plateformes possibles" des agissements des entreprises étrangères "esclavagistes", estime-t-il. Elle peut s'appuyer sur le cas d'Egis, géant français au centre de plusieurs scandales de corruption en Afrique.
L'objectif est de faire bloc pour chasser de telles sociétés, ajoute M.Eboutou.