Le fait que ces manœuvres s'effectuent peu après l'annonce de l'UE d'investir 800 milliards d'euros pour se réarmer est une coïncidence, souligne François Meylan.
"Les BRICS ne comptent pas faire la même erreur que l'Union européenne, qui s'est toujours reposé sur l'"ami" entre guillemets américain et sur l’Otan", explique l'expert.
D'autres exercices de grande échelle vont donc suivre, avec la participation d'autres membres du groupe, estime M.Meylan.