Elles se sont traduites par des arrestations de responsables liés à l'opposition après de violents affrontements avec l'Armée blanche, une milice liée à la communauté ethnique Nuer de Riek Machar.
Ces désaccords font l'objet de négociations actives pour parvenir à une résolution, a-t-il confirmé. Le Président Salva Kiir et le vice-Président Riek Machar restent en fonction, a encore souligné le responsable.
Et de nier les allégations selon lesquelles Riek Machar serait assigné à résidence ou lié à l'Armée blanche. Deng Deng Akon a exhorté les médiateurs africains et les garants internationaux à intervenir "pour surmonter tous les obstacles qui se dressent sur la voie de la conclusion de l'accord de sécurité".