Sur la conversation téléphonique avec Poutine: "de merveilleuses discussions" entre la Russie et les États-Unis.
Sur la confiance: "Je le connais depuis longtemps. Je suis très confiant qu'ils sont très sérieux et que nous allons conclure un accord, et quand l'accord sera conclu, je ne pense pas que nous allons parler de la sécurité".
Sur les accusations infondées d'ingérence électorale: "Tout tournait autour de Biden. Il Poutine, ndlr n'avait rien à voir avec ça. Il a donc dû en souffrir".
Sur les questions provocatrices: "Vous voulez que je dise des choses vraiment terribles sur Poutine, et que je prononce ensuite: ‘Bonjour, Vladimir. Où en sommes-nous avec cet accord?’ Ça ne marche pas comme ça".