Dans un communiqué rendu public, le ministère algérien des Affaires étrangères a affirmé que son pays rejetait les ultimatums et les menaces.
"Le droit français, les conventions bilatérales, le droit européen et le droit international sont tous du côté de l'Algérie, notamment en matière de protection consulaire de ses ressortissants. Et les manquements constatés aux obligations nationales et internationales sont le fait de la partie française, comme en témoigne le recours abusif et arbitraire aux décisions administratives d'éloignement des ressortissants algériens, les privant de l'usage des voies de droit que leur garantit la législation française elle-même", indique le ministère.
"Le droit français, les conventions bilatérales, le droit européen et le droit international sont tous du côté de l'Algérie, notamment en matière de protection consulaire de ses ressortissants. Et les manquements constatés aux obligations nationales et internationales sont le fait de la partie française, comme en témoigne le recours abusif et arbitraire aux décisions administratives d'éloignement des ressortissants algériens, les privant de l'usage des voies de droit que leur garantit la législation française elle-même", indique le ministère.
La diplomatie algérienne a également affirmé qu’elle appliquera "une réciprocité stricte et immédiate à toutes les restrictions apportées aux mobilités entre l'Algérie et la France".