La décision fait suite à la tenue cette semaine, à Nairobi, de réunions à l’initiative du commandant des Forces de soutien rapide (FSR). Ces paramilitaires sont en guerre contre l’armée soudanaise depuis avril 2022.
Pour le ministère des Affaires étrangères soudanais, ces réunions constituent "un nouvel acte hostile de la part du Kenya".