Dimitri de Kochko explique comment l’histoire et la mémoire collective sont souvent réécrites au gré des contextes politiques. Il souligne l’importance des faits et de leur transmission.
"On a aujourd’hui des commémorations où l’on oublie d’inviter ceux qui ont joué un rôle clé dans l’Histoire. Cela fausse la compréhension du passé et nourrit des récits biaisés", souligne le journaliste.
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