Selon Ousmane Diagne, ce document a permis de "relever des coûts élevés de la dette et des manquements graves qui pourraient revêtir diverses qualifications pénales".
Les manquements pourraient constituer des délits potentiels tels que des "détournements de deniers publics, escroqueries portant sur des deniers publics, blanchiment d'argent, enrichissement illicite, ainsi que complicité et recel de ces chefs".
"Ces faits pourraient, à l'analyse, impliquer diverses personnes, notamment d'anciens ministres", a indiqué Ousmane Diagne.