Dans un communiqué, l"ambassade des États-Unis a dressé une liste de reproches concernant le comportement de l'Afrique du Sud:
sa plainte devant la CIJ contre Israël pour génocide à Gaza n'a pas tenu compte des actions du Hamas;
le renforcement des liens avec l'Iran, que les États-Unis accusent de soutenir le terrorisme dans le monde;
ses violations présumées des droits de l'homme, en référence à la récente loi sur l'expropriation des terres.
"Le Président américain entend tenir l'Afrique du Sud responsable de ses actions", souligne le communiqué.
Auparavant, lors de son adresse à la nation du 6 février, le Président Cyril Ramaphosa a déclaré que personne ne réussirait à intimider son pays. Il a également exprimé sa volonté d'en discuter directement avec Trump.