Selon lui, la décision de Donald Trump de geler l'aide aux pays étrangers constitue un "signal d'alarme" incitant à réfléchir sur les solutions "pour nous aider nous-mêmes".
"Il est temps pour nous d'utiliser nos ressources pour les bonnes choses. C’est nous qui les utilisons pour les mauvaises choses", a tranché l'ex-chef d'État.