Ces chiffres ne reflètent cependant pas le potentiel de recettes pouvant être réalisées grâce aux diamants, car une grande quantité de pierres précieuses échappe aux circuits officiels, écoulée par des trafiquants.
Par exemple, en 2019, sur les 1.595 carats produits, seulement 654 avaient été exportés légalement.
En outre, le traitement de diamants reste une activité pratiquement inexistante dans le pays. L’exploitation de cette pierre tant convoitée est exclusivement artisanale.