D'ailleurs, pour lui, des doutes ont été émis seulement par une petite minorité de Nigériens.
Expulsées du Niger, les forces françaises "ont transité par le Tchad et ont été reversées vers ces deux pays [le Nigeria et le Bénin]", pointe M.Ibrahim.
Face aux actions de Paris, celui-ci suggère de s'unir et de soutenir les forces armées du Niger dans la lutte qui "a été imposée par la France".