Auparavant, le leader français avait reproché aux dirigeants africains d'avoir "oublié de dire merci" à Paris pour ses interventions antiterroristes dans leurs pays.
Le gouvernement tchadien a déjà réagi à ses déclarations la veille.
Mahamat Idriss Déby a pour sa part tenu à souligner que la décision de N'Djamena de rompre les relations militaires avec Paris était "entièrement une décision souveraine".
"Elle ne souffre d’aucune ambigüité", a-t-il conclu.