Il explique que la désertion n'est pas criminalisée en France. "Si quelqu'un désertait, un procureur français n'avait pas autorité pour arrêter cet individu".
Plus tôt dans la journée, le commandant des forces terrestres ukrainiennes avait reconnu "des problèmes" au sein de la brigade formée en France.
Selon les rapports des journalistes locaux, près de 1.700 soldats de la brigade ont déserté, pour la plupart avant même que leur unité ne soit déployée sur le front, et 50 durant la formation en France.