En cause, un énième appel de ce dernier a confisquer les avoirs russes immobilisés dans les institutions financières européennes.
La réaction du chancelier a surpris les autres dirigeants présents à la réunion pour réfléchir aux moyens de soutenir l'Ukraine suite au retour de Donald Trump au pouvoir aux USA, rapporte le Financial Times.
L'idée d'utiliser les 260 milliards d'euros appartenant à la Russie pour aider Kiev est promue par Washington et Londres. Cependant, la France, l'Allemagne et l'Italie s'y opposent.
Le Président élu américain a fait part de son intention de diminuer l'aide à l'Ukraine et a promis de régler le conflit en 24 heures.