La professeure insiste sur l'importance de considérer la dimension collective de ces traumatismes et déplore le manque d'attention médiatique envers la Syrie, affirmant que tous méritent respect et protection, notamment les enfants, qui incarnent l'avenir de l'humanité.
"Est-ce qu'il y a un exil plus cruel que d'exiler un enfant de son enfance, c'est-à-dire arracher l'enfant à son enfance, à sa tendresse, à son environnement, à quelque chose qui s'appelle le jeu?", s’interroge la psychanalyste.
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