Le département assurera l'interaction avec les organisations supranationales et sous-régionales sur le continent africain, détaille Ivan Lochkaryov, chercheur à l'Institut d'État des relations internationales de Moscou.
"Le département aura beaucoup de travail à faire, car nous n'avons pas de dialogue avec un certain nombre d'organisations sous-régionales", explique-t-il.
Selon lui, la nouvelle structure se chargera des dossiers liés à la sécurité -notamment alimentaire- ainsi qu'à l'agenda climatique.
Les relations bilatérales seront traitées comme elles le sont actuellement, signale l'universitaire.