Selon lui, des contacts ont été pris avec des "opposants étrangers, ainsi qu'avec des partis amis" et des discussions ont eu lieu sur la nécessité de passer en douceur" pour préserver l'État.
La Syrie devrait "rester un pays uni", préconise Mohammed Ghazi al-Jalali.
La plupart des ministres sont "toujours en poste", assure-t-il.
En revanche, la reconstruction de l’armée syrienne relèvera de la prochaine administration, ajoute-t-il. Il dit également espérer la levée des sanctions contre la Syrie.