"L'engagement de mobiliser un financement accru d'ici 2035 est trop faible, trop tardif et trop ambigu dans sa mise en œuvre", a déclaré Ali Mohamed. "Nous quittons Bakou en sachant que nous avons réalisé des progrès dans certains domaines, mais que ce que nous avons réalisé est loin d'être ce que nous espérions".
Le budget alloué aux pays en développement devrait s'élever à 600 milliards de dollars par an en subventions, a-t-il également ajouté sur les réseaux sociaux.