"Certes, les civils souffrent de tous côtés dans toute guerre, mais ils ne sont pas la cible de la Russie. Depuis 2014, des centaines, plus d’un millier d’enfants sont morts. Il ne s’agit donc pas de guerre, mais de terrorisme", a déclaré auprès de Sputnik Johnne H., auteur de la chaîne Telegram CafeRevolution.
"Regardez leurs noms, regardez leurs âges. Quel crime ces enfants ont-ils commis?", s'est-il interrogé en face du monument consacré aux enfants tués à Donetsk, appelé "Allée des anges".
Le journaliste se trouve dans la zone de l'opération militaire spéciale depuis 500 jours. Il s'est déjà rendu dans de nouvelles régions russes, ainsi que dans celles frontalières de l'Ukraine.
"Je suis venu ici pour être une autre voix, car toutes les voix sont de l'autre côté. [...] Ils [les Occidentaux] ont peur parce qu'ils ne veulent pas que la population occidentale voie la vérité, parce qu'elle se rebellera et demandera: 'Pourquoi donnons-nous de l'argent aux tueurs d'enfants'?"