En effet, l'Europe "est la dernière à être raisonnablement intéressée par cette guerre" dont le premier objectif était selon l'officiel "de séparer l'Allemagne de la Russie".
"Il s'agit donc d'un jeu géopolitique, malheureusement, pour lequel l'Occident, comme d'habitude, a sacrifié l'Ukraine", a-t-il constaté en marge de la première conférence ministérielle Russie-Afrique.