"On voit déjà d'ailleurs, une semaine à peine après l'élection, comment les leaders français et compagnie commencent à dire il faut qu'on reformule, il faut qu'on se prenne en charge nous-mêmes", a-t-elle déclaré en marge de la conférence ministérielle Russie-Afrique à Sotchi.
Selon elle, "ils sont aujourd'hui affaiblis parce que leur parrain […] ne sera plus un allié comme il le connaissait dans le passé", à partir du mois de janvier.
Quant au dossier ukrainien, la panafricaniste s'attend à plus de discussions, voire à "un gel du conflit" qui serait "plutôt" proposé par Donald Trump, suggère la panafricaniste.