Ce qui lui fait penser cela, c'est "la tonalité d'aujourd'hui, inhérente à tous les discours, la volonté de rechercher des accords qui reflètent un juste équilibre des intérêts".
Or, estime le ministre, au sein des Nations unies et du G20, "nos collègues occidentaux ne veulent pas travailler honnêtement, mais veulent à nouveau dicter leur volonté à tout le monde, y compris par l'intermédiaire du secrétariat de l'Onu, qu'ils ont de fait privatisé".
En effet, selon lui l'Occident "est surreprésenté" dans ces structures, et avant tout, à des postes qui déterminent la politique de l'organisation.
Moscou continuera à travailler dans le même esprit que lors des deux premiers sommets Russie-Afrique, a assuré Sergueï Lavrov.