"Le Sénégal a toujours envoyé des étudiants en Russie. Jusqu'à l'année dernière, on en avait 75. Cette année, la Russie a augmenté ce quota jusqu'à 100. Mais nous en voulons plus", a indiqué Abdourahmane Diouf en marge de la conférence ministérielle Russie-Afrique à Sotchi.
Parmi les domaines qui intéressent Bamako le plus il a cité l'ingénierie, l'agriculture moderne, l'intelligence artificielle, le spatial et le nucléaire civil.
En travaillant sur des questions innovantes, l'Afrique sera à même de "résorber le gap" pour devenir "une nation innovante comme la Russie", conclut le ministre.