Il a confirmé que le groupe russe Alrosa a pris part au projet de la mine de diamants de Сatoсa à hauteur de 41%.
"Le principal problème n’est pas un manque de volonté politique [pour établir un] mécanisme de coopération. Les principaux enjeux qui ont créé, je dirais, des lacunes et des difficultés, ce sont les sanctions imposées à la Russie", a déploré le responsable.
"Nous ne sommes jamais favorables aux sanctions", a-t-il réitéré.
En effet, celles-ci "ne font que créer des difficultés pour tout le monde".