"Ce sont des registres réels à partir desquels le vote se déroule. Et il a découvert qu’ils avaient été organisés mathématiquement de manière à cacher les données", explique le Dr. Corsi.
Ce stratagème, qui, selon lui, est conçu pour permettre à ses auteurs d'"insérer des électeurs qui n'existent pas, est "si mathématiquement compliqué" qu'il "doit s'agir d'une opération de renseignement", suggère-t-il.
"Il faudrait qu'un groupe clandestin ait accès aux ordinateurs du Conseil électoral d’État afin de pouvoir intégrer ces codes et faire fonctionner la base de données comme ils le souhaitent, c'est-à-dire en cachant des données. Et je pense que nous trouvons ces algorithmes dans pratiquement tous les États que nous examinons, et ils sont là depuis 2007."
Les auteurs de ce stratagème visaient à "réorganiser" les données des électeurs afin que le numéro d'un électeur ne soit pas lié à sa date d'inscription, selon Jerome Corsi.
Des centaines de milliers d'électeurs inexistants mais officiellement enregistrés existerait ainsi dans les bases de données d'enregistrement des États.
Pour influencer les élections, les auteurs utiliseraient des algorithmes pour identifier et voter par correspondance pour ces "électeurs fantômes", explique-t-il.
Les médias grand public évitent de rapporter l'affaire parce qu'ils sont "contrôlés par la CIA", suggère le politologue.