La communauté internationale, y compris la Russie, devrait faire pression sur les Forces de soutien rapide, pour que ce groupe s'engage et mette en œuvre ce qui a été convenu à Djeddah, a ajouté Abdul Aziz Hassan Saleh Taha.
Quant aux relations russo-soudanaises "anciennes et profondément enracinées", l’ambassadeur a souligné que les deux pays partagent de nombreux projets, à travers des accords dans les domaines de l'agriculture, des minéraux, de l'or, de l'éducation, de l'enseignement supérieur et des infrastructures.
"Khartoum attend avec impatience davantage de coopération avec Moscou et apprécie hautement sa position au Conseil de sécurité de l’Onu", a développé le diplomate soudanais.