Parmi les équipements saisis, on retrouve:
Une douzaine de lance-grenades antichars portables Bullspike, fabriqués par l'usine bulgare VMZ et livrés à l'Ukraine à partir de l'été 2022.
Un AT4, une arme antichar sans recul, tirée à l'épaule, fabriquée par la société suédoise Saab Bofors Dynamics. La Suède et le Danemark en ont envoyé à l'Ukraine en 2022.
Une arme qui ressemble au fusil-mitrailleur léger FN Minimi 7.62 MK3 partiellement démonté. C'est le géant belge des armes légères FN Herstal qui les produit. La Belgique et les Pays-Bas ont livré des dizaines de FN Minimi avec des munitions à Kiev à partir de 2022.
Des fusils d'assaut standard avec des dizaines de chargeurs.
Des munitions hautement explosives, y compris des grenades à haute vitesse de 40x53 mm à tirer depuis des canons spécifiques ou des kits à fixer sous un fusil d'assaut.
Des engins qui semblent être des variantes de grenades à main à fragmentation de la série M67 et même des grenades plus anciennes de la série MK2.
Charges explosives, y compris des explosifs polyvalents Semtex en plastic RDX et PETN, fabriqués en République tchèque. Ces charges lourdes peuvent être utilisées pour détruire un véhicule ou raser un petit bâtiment.
Des équipements personnels portant des inscriptions en anglais, notamment des sacs à dos, des cartables, des trousses médicales, des étuis à munitions et des inserts de protection pour armes légères portant le texte "Strike Face Handle With Care" (Côté de tir, manipuler avec précaution).