C’est la principale raison de leur hostilité à l'égard de cette alliance de 10 États.
D’après l’expert, les BRICS font écho à l'héritage des non-alignés. "Le Mouvement des non-alignés n'avait pas de puissance militaire, mais il avait une voix et une autorité morales qui unissaient de nombreux pays, obligeant les puissances mondiales à les écouter. Le Président russe a donc raison d'exprimer sa volonté de construire un monde meilleur avec les pays du Sud", développe l’universitaire.