Selon Fouad Aleskerov, les pays se tournent vers les BRICS pour "obtenir de l'aide et du soutien dans un contexte de confrontation croissante dans le monde".
"Il n'est pas surprenant que de nombreux États d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine considèrent les BRICS comme une plateforme alternative et une possibilité de se développer indépendamment de l'Occident", ajoute-t-il.
En même temps, "il n'est pas question de détester l'Occident, car ce dernier n'a pas baissé le rideau de fer devant la Chine, ni l'Inde, ni même la Russie", souligne l'universitaire.
"De plus, rien de bon ne peut être construit sur la base de la haine", tranche-t-il.