Les scientifiques espèrent aller plus loin que le dernier scanner passé en 1984, cette innovation technologique devant permettre de "franchir une nouvelle étape dans l'exploration de ce trésor de l'Égypte antique", indique un communiqué des Hospices civils de Lyon.
Il est prévu de "lire pour la première fois les hiéroglyphes inscrits sur le scarabée de cœur de Séramon, ou d'identifier les amulettes du collier qui n'avaient pas pu l'être jusqu'à présent".
Diverses informations sur elle ont déjà été mises à jour comme des fractures vertébrales, de l’arthrose de hanche et de l’athérome carotidien.