des "mesures coercitives unilatérales,
l'ingérence dans les affaires intérieures d'États souverains,
la politisation ou simplement la restriction de l'aide humanitaire et de l'assistance technique.
Qui plus est, les crimes coloniaux restent largement non enquêtés, les appels à des réparations et des excuses sont souvent ignorés, a souligné Piotr Ilitchiov en marge de la 79e session de l'Assemblée générale des Nations unies.
De ce fait, la victoire complète sur le colonialisme implique non seulement l'indépendance formelle mais aussi le dépassement des conséquences des siècles d'oppression, a-t-il fait ressortir.
Et d’ajouter que le colonialisme est inacceptable sous toutes ses formes. En outre, 17 territoires ne disposent toujours pas de l'autodétermination, rappelle-t-il.
À ce propos, le diplomate est revenu sur la Déclaration de l'Onu sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux de 1960, qui avait été adoptée à l'initiative de l'URSS. Le document reste pertinent même s'il a près de 65 ans, conclut-il.