La mesure s'explique par le fait que le pays est en mesure d'exploiter le métal précieux par ses propres moyens. L'État va prendre le relais des activités des internationales qui partent, a précisé le capitaine.
Dans le même temps, le dirigeant burkinabè n'a pas précisé quelles entreprises se verraient retirer leur licence.
En février, le ministère burkinabè de l'Énergie a suspendu la délivrance des permis d'exportation de l'or et des matières précieuses extraits par des méthodes artisanales ou semi-mécanisées.