Des spécialistes russes, avec des collègues étrangers, ont mené des recherches sur la variole du singe au Burundi, au Rwanda et en Ouganda, a également rappelé Tatiana Golikova.
De plus, les experts russes travaillent aux côtés de leurs collègues dans quatre centres d'étude des maladies infectieuses, notamment en Guinée, au Burundi, au Viêt Nam et au Venezuela. Ces instances ont été créées au cours des sept dernières années.
L'OMS a déclaré en août que la recrudescence de variole simienne en RDC et dans nombre de pays d’Afrique constituait une urgence de santé publique de portée internationale.
Selon l'organisation, 31.427 cas présumés de variole du singe ont été recensés dans 15 pays africains entre janvier et le 22 septembre. Lors de cette période, la maladie a causé 844 morts sur le continent.