Bruno Itoua rappelle que la zone concernée compte 100 millions d'habitants, "ce qui est énorme".
"Et ces 100 millions d'habitants ont aussi énormément de problèmes d'accès aux produits pétroliers", constate-t-il.
Le pipeline qui reliera Pointe-Noire à Brazzaville, la capitale, devra changer la donne "à la fois par la production locale de produits pétroliers, mais aussi par une importation massive", indique le ministre.
"Et ça, cela peut se faire aussi dans une coopération étroite et directe avec la Russie. Ensemble, nous pouvons imaginer d'aller plus loin et faire de Pointe-Noire un hub de raffinage pour l'Afrique centrale", fait valoir M.Itoua.