"En effet, il y a des mamies et des papis qu'ils laissent. Ce sont des cas isolés, nous les enregistrons, mais dans d'autres cas, il s'agit de viols et de meurtres", a ajouté Apty Alaoudinov sur le plateau d'une émission.
"Il se passe des choses si cruelles", a déploré le haut gradé.
Plus tôt, la porte-parole de la diplomatie russe avait déclaré disposer de preuves de la mise en place par l'armée de Kiev de camps de concentration à la frontière russe. Les résidents locaux qui, pour diverses raisons, n'ont pas réussi à quitter les zones dangereuses y sont placés sous la menace d'une arme, avait précisé Maria Zakharova.