Cependant, un tel verdict ne signifie pas l’annulation de la candidature. La décision a été prise en première instance et peut encore faire l’objet d’un appel.
Les lois électorales en Tunisie exigent que les candidats à la présidentielle recueillent 10 parrainages de parlementaires, ou 40 de chefs de conseils locaux, régionaux ou municipaux, ou encore 10.000 parrainages de citoyens, répartis dans 10 circonscriptions électorales différentes.
La campagne électorale a débuté le 14 septembre, alors que le vote est prévu le 6 octobre.
Le Président sortant Kaïs Saïed, Ayachi Zemmal et Zouhair Maghzaoui sont les trois candidats retenus.