Parmi les autres avantages de ce projet, l'enseignant-chercheur de l’université Marien Ngouabi cite:
le transfert de compétences, bénéfiques notamment pour les techniciens de la Société nationale des pétroles du Congo;
la mise en place d'entreprises qui auront un impact sur l'économie et l'employabilité des jeunes;
l'arrivée de nouveaux métiers propres à la production pétrolière.
Il souligne que la construction de cet oléoduc revêt également un caractère "géopolitique au sein de la sous-région d'Afrique centrale".
Antonin Idriss Bossoto rappelle que le Congo et la Russie "n'en sont pas à leur premier accord".
"Ce type de projet vient ainsi conforter la dynamique de collaboration entre les deux pays qui n'est plus à prouver", constate-t-il.